jeudi 30 août 2012

Douces journées en cette fin d'été.

Bon, nous avons un léger problème de communication dans l'équipe.
Stanislas, qui s'occupe de prendre toutes les photos de groupe, comme une tradition à chaque étape, refuse ostensiblement de me transmettre ses clichés depuis Hochfelden. C'est-à-dire, depuis un moment.
J'hésite à lui adresser une pétition.
Qui veut signer ?
Il n'y aurait qu'à laisser un commentaire sur le blog (je ne sais pas trop comment on fait, mais certains y sont parvenus).
À dix commentaires, je lui adresse une lettre, on va pas se laisser faire.



Le désert d'Hochfelden, justement...


Il n'empêche :Stanislas, donne moi ces photos !


Bon, voilà pour l'intro.

Je commence par quoi maintenant...

On a joué à Eschau, deux fois dans la même journée, c'était vraiment formidable.
D'ailleurs Francine ne s'est pas gênée, elle a laissé un mot. Suivez l'exemple.

Deux fois, donc. On ne s'y attendait pas vraiment, mais la liste des réservations de la représentation du soir s'est remplie en quelques heures, la veille. Et 16h, il y avait une vingtaine de personne je crois. Ce qui n'est pas mal du tout.
Et les représentations étaient très belles. Douces. C'est ce que j'ai dit, après coup : "c'était tout doux".
Oui, comme un cadeau.






Monsieur le Maire est venu. Monsieur son adjoint est venu également. Étaient heureux, je crois. Les gens, pareil, oui.
Si. oui, si si.


Donc, ça c'était samedi dernier.
La prochaine étape c'est Mulhouse, destination qu'il faut deux journées pour atteindre. Il faut naviguer sur le Rhin. Pour naviguer sur le Rhin, il faut un pilote du Rhin. On a notre homme. Il s'appelle Grandhomme. Voilà.

À ce moment là, Mulhouse s'annonce pas mal, mais c'est pas encore la fête.
Mais deux jours plus tard, un journaliste va m'appeler pour une interview téléphonique.
Il s'agit de Laurent Gentilhomme, au téléphone super, intéressé et intéressant. Le lendemain, son article paraît dans l'Alsace. En quelques heures, les réservations vont s'enchaîner, les représentations mulhousienne sont très vite complètes. Il faut dire aussi qu'il ne s'est pas foutu de notre gueule Monsieur Gentilhomme.





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