vendredi 10 août 2012

Quelqu'un n'a pas compris.

La première semaine de représentations s'achève ce soir, à Niderviller.
Strasbourg - Xouaxange. Puis Niderviller.
C'est éprouvant, c'est difficile, mais c'est magique.
La vie est là, l'amour est là, pur, brut.

Aujourd'hui pourtant, j'ai (j'utilise le "je", moi, Charles), j'ai, donc, eu une mauvaise surprise en ouvrant le journal Le républicain lorrain
Il y a un article qui évoque Notre cairn, et le projet, mais... tout y est faux !
Et c'est terrible. Ce soir, un couple est venu, accompagné de deux enfants en bas-âges. Il a fallu expliquer de quoi il était question, très exactement, réellement, mais le mal était fait. 
Ils sont venus, les enfants ont perdu patience, et se sont mis à parler, à chahuter. Bref, c'était la foire.

Je rectifie. 
Il s'agit bel et bien d'un spectacle de théâtre (Sur la grand-route, d'Anton Tchekhov, texte magnifique). Une pièce de théâtre, comme on dit parfois, mais c'est laid, disons plutôt de la poésie, un temps de vie pure et éclatante.

Non, il ne s'agit pas de lectures de contes lorrains (Le titre de l'article était "Le folklore russe et lorrain lu à travers les contes"...)!
Ni russes, d'ailleurs, mais d'un chef-d’œuvre du plus grand dramaturge ( de nationalité russe, certes) du 19 e siècle européen.
Nous jouons ce spectacle, et ce n'est pas gratuit (le théâtre est un métier). 

Non, nous faisons pas visiter la péniche qui est notre salle de spectacle. Ce n'est ni gratuit, ni payant, nous ne faisons pas ça.

Je serais ravi de faire circuler le dossier de presse à qui le souhaiterait, pour rectifier toutes informations incertaines (ou fausses).

Mais, c'est désagréable ça !

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