jeudi 16 août 2012

Niderviller.

Niderviller.

C'est comme une aire d'autoroute pour bateaux.

Deux représentations, pas évidentes, franchement, parce que fatigue et parce que peu de public.
La première, ça allait, public attentif et consterné. Mais énergie un peu basse. Fatigue.
À ce moment là, je me dis qu'il y a peut-être une modification à apporter au début du spectacle, et je commence à y réfléchir.
La seconde, bof, c'est l'épisode des enfants infernaux.
Deux petits monstres se sont ennuyés (ça arrive, ce n'est pas grave) mais ils ont tenu à le faire savoir (je veux dire - à le faire entendre), et dans le même temps, à gâcher le plaisir de leurs parents qui avaient déjà fait preuve de curiosité. Je ne vais pas refuser aux enfants de venir à ce spectacle !
Cependant, j'ai compris l'intérêt du très contemporain principe de précaution.
Bref, représentation difficile, et d'autant plus cruelle que ce qui se passait au plateau était plutôt chouette.

Enfants d'ici et d'ailleurs ! Soyez chouettes avec mes acteurs !

Mis à part cet épisode, Niderviller, c'était sympa comme tout.
Chapeau bas à la commune, qui s'est organisée formidablement pour nous offrir des repas à toutes les sauces (matin midi et soir).

Une spectatrice a assister à la première. Elle a souffert de la chaleur.
Mais elle est très heureuse. Le lendemain elle est revenue, pas pour revoir le spectacle, mais pour manger sur la péniche. Elle est venue accompagnée d'une amie. On a pu discuter, c'était bien !

Une phrase nous sera resté en mémoire notamment, sorte de proverbe, comme un petit haïku de cru lorrain : "le pâté lorrain, il m'a cassé les reins".

Ce voyage (puisque c'en est un) est formidable.

Goodbye Niderviller, à la revoyure.

Z.








En guest, Amélie Enon, Daniel Michel et Adrien Thibault.

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